Rémy Jules 
Metteur en scène, comédien, chercheur...
Universal Arts Festival
Académie Chevalier de Saint-George

BIOGRAPHIE

 

Laurent Succab est percussionniste, auteur, compositeur, chanteur, professeur de Gwoka, percutions guadeloupéennes. Dés l’âge de 7 ans en Guadeloupe, il se forme avec des grands-maîtres du Gwoka : Pierre Naouman, Fritz Nafer, Fred Anasthase à Pointe-à-Pitre. À Paris, il poursuit sa formation à la Cité de la musique en percussions afro-cubaines et à l'ARIAM Ile- de- France. Il obtient en 2015 son diplôme d'état d'enseignement des musiques traditionnelles option Gwoka à l'Institut supérieur des arts de Toulouse (ISDAT).
Il enseigne le Gwoka à la Philharmonie de Paris et en milieu scolaire. Il intervient dans divers ateliers et concerts pédagogiques Gwoka au sein de conservatoires et    dans le cadre de divers festivals de musique et de danse aux Antilles et Métropole tels que Africolor, Martigues, Gwoka Jazz... Il accompagne des
cours de danse de Gwoka et d’atelier chorégraphique Gwoka/Contemporain avec les danseurs et chorégraphes Max Diakok de la Cie Boukousou, Jean Taulliot, Angel Kaba et le metteur en scène Rémy Jules. Il joue avec    la chanteuse de Jazz Mina Agossi et le groupe "Kelin- Kelin Orchestra" sous la direction de Brice Wassy et de    Jean-Jacques Elangué ainsi que d’artistes de divers horizons: Pop, Reggae, RN'B, Zouk, Gospel. Il collabore depuis 2013 avec le metteur en scène Rémy Jules et la chorégraphe de danse baroque Elyse Pasquier en qualité de percussionniste autour de différentes actions et spectacles pédagogiques tels que : “La Fantastique histoire du chevalier de Saint-George” aux CRD de Créteil et CRI d’Ivry sur Seine “Le salon de musique du chevalier de Saint- George”    au CRI d’Ivry sur Seine, "Othello, le Maure de Venise" au CRD de Créteil, “Secrets de Soi(e)” associant un ensemble Gamelan dirigé par Christophe Moor (percussions indonésiennes) au CRD de Créteil, CRI de Limeil-Brevannes
En 2014, en tant qu’auteur, compositeur et interprète Laurent Succab enregistre son album intitulé “Figkénèt”. Il œuvre pour que le Gwoka puisse faire partie des programmes d’enseignement des écoles et conservatoires de musique et de danse, tout comme il a été réhabilité et inscrit en 2014 sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité de l’Unesco.